[-] TheFrirish@jlai.lu 3 points 1 day ago

Gg le type en plus les cryptos vont pump maintenant

[-] TheFrirish@jlai.lu 2 points 2 days ago

Finally some positivity

[-] TheFrirish@jlai.lu 8 points 3 days ago

There can be a positive "crazy" but it's quite a gamble

[-] TheFrirish@jlai.lu 2 points 3 days ago* (last edited 3 days ago)

Tu es soumerd_retardataire

Le pire c'est ça aurait plus de sens comme ça.

Mais je n'ai pas la force d'écrire autant ni même de lire toutes ces anneries.

[-] TheFrirish@jlai.lu 3 points 3 days ago* (last edited 3 days ago)

J'y ai pensé et j'ai failli le mettre dans mon commentaire

[-] TheFrirish@jlai.lu 5 points 3 days ago

Théorie du complot :

Soumerde est venu mettre la pagaille pour être sûr que la défédération se produise.

[-] TheFrirish@jlai.lu 1 points 5 days ago

Professional Americaning

[-] TheFrirish@jlai.lu 4 points 5 days ago

Oui mais ya un risque de perdre 30 million aussi avec 10 000€ par jour t'es pépère quand même.

Folie des grandeurs c'est sur qu'avec ma mentalité je vais pas les atteindre les 30 millions déjà.

[-] TheFrirish@jlai.lu 3 points 6 days ago

Le mec mise 30 000 000 $ en pari crypto risqué alors qu'il pourrait faire du staking pour toucher une rente journalière plutôt safe.

le gars pourrait toucher 13 150$ par jour sur polkadot avec cette somme. j'ai calculé avec 16% de moyenne sur polkadot mais le rendement est supérieur 22% maintenant pour moi

[-] TheFrirish@jlai.lu 1 points 1 week ago

Funny I use KDE on NixOS because it's the only OS where it doesn't freeze my whole system up and I have to force reboot. (issue caused by AX210 Intel driver)

[-] TheFrirish@jlai.lu 31 points 1 week ago

Good meme that angered everyone.

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submitted 1 month ago by TheFrirish@jlai.lu to c/world@lemmy.world

SYDNEY, Sept 12 (Reuters) - Australia said it will fine internet platforms up to 5% of their global revenue for failing to prevent the spread of misinformation online, joining a worldwide push to rein in borderless tech giants but angering free speech advocates.

The government said it would make tech platforms set codes of conduct governing how they stop dangerous falsehoods spreading, to be approved by a regulator. The regulator would set its own standard if a platform failed to do so, then fine companies for non-compliance.

The legislation, to be introduced in parliament on Thursday, targets false content that hurts election integrity or public health, calls for denouncing a group or injuring a person, or risks disrupting key infrastructure or emergency services.

The bill is part of a wide-ranging regulatory crackdown by Australia, where leaders have complained that foreign-domiciled tech platforms are overriding the country's sovereignty, and comes ahead of a federal election due within a year.

Already Facebook owner Meta (META.O), opens new tab

has said it may block professional news content if it is forced to pay royalties, while X, formerly Twitter, has removed most content moderation since being bought by billionaire Elon Musk in 2022.

"Misinformation and disinformation pose a serious threat to the safety and wellbeing of Australians, as well as to our democracy, society and economy," said Communications Minister Michelle Rowland in a statement.

"Doing nothing and allowing this problem to fester is not an option."

An initial version of the bill was criticised in 2023 for giving the Australian Communications and Media Authority too much power to determine what constituted misinformation and disinformation, the term for intentionally spreading lies.

Rowland said the new bill specified the media regulator would not have power to force the takedown of individual pieces of content or user accounts. The new version of the bill protected professional news, artistic and religious content, while it did not protect government-authorised content.

Some four-fifths of Australians wanted the spread of misinformation addressed, the minister said, citing the Australian Media Literary Alliance.

Meta, which counts nearly nine in 10 Australians as Facebook users, declined to comment. Industry body DIGI, of which Meta is a member, said the new regime reinforced an anti-misinformation code it last updated in 2022, but many questions remained.

X was not immediately available for comment.

Opposition home affairs spokesman James Paterson said that while he had yet to examine the revised bill, "Australians' legitimately-held political beliefs should not be censored by either the government, or by foreign social media platforms".

The Australia Communications and Media Authority said it welcomed "legislation to provide it with a formal regulatory role to combat misinformation and disinformation on digital platforms".

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submitted 5 months ago* (last edited 3 weeks ago) by TheFrirish@jlai.lu to c/france@jlai.lu

Êtres errants de lemmy, je suis curieux de savoir quel est votre forfait mobile et comment vous évaluez votre expérience avec votre opérateur.

Pour ma part, je suis client chez Telecoop. Mon choix n'a pas été guidé principalement par les détails du forfait (bien que je commence à être frustré par le faible volume de données disponibles). Actuellement, mon abonnement est de 10€ par mois pour 100 Mo, avec un supplément de 2€ par Go. Comme je passe beaucoup de temps à l'étranger, j'en avais assez des opérateurs traditionnels qui ajoutent sans cesse des options supplémentaires, me forçant à surveiller constamment ma facture pour éviter les surcharges. Heureusement, avec le statut de société coopérative de Telecoop, je n'ai pas besoin de me préoccuper de modifications inattendues de mon forfait.

Je pense peut-être à changer de forfait ou même à passer à une formule prépayée, étant donné que ma consommation de données mobiles hors wifi est très faible.

Auriez-vous des recommandations à me faire ?

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submitted 7 months ago by TheFrirish@jlai.lu to c/opensource@lemmy.ml

The successor of Openboard, Heliboard finally comes out in 1.0 my favorite open source keyboard out there.

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Railcoop jette l'éponge (france3-regions.francetvinfo.fr)
submitted 7 months ago by TheFrirish@jlai.lu to c/france@jlai.lu

Terminus pour Railcoop et "fin d'une belle aventure collective" : la liquidation judiciaire de la coopérative ferroviaire est inévitable.

La coopérative Railcoop, basée à Figeac dans le Lot, va certainement dire adieu à son rêve de relancer la ligne de train directe entre Bordeaux et Lyon. Dans un communiqué à ses sociétaires, elle annonce sa liquidation judiciaire comme inévitable.

Depuis l'été 2023, Railcoop n'a eu de cesse d'appeler à l'aide ses sociétaires et soutiens pour trouver du financement. "Pour 100 euros, tu peux acheter un train !" était devenu le slogan de la coopérative ferroviaire du Lot. Mais ce mercredi 27 mars 2024 sonne comme un coup d'arrêt. Dans un communiqué adressé à ses sociétaires, Railcoop  annonce sa liquidation judiciaire comme étant inévitable.

Le schéma prévu pour sortir du redressement judiciaire est désormais caduc. En l'état, le tribunal de commerce de Cahors ne devrait pas avoir d'autre choix que de prononcer, le 15 avril 2024, la liquidation de notre coopérative*", a indiqué Railcoop à ses sociétaires, ce mercredi 27 mars 2024.

Placée en redressement judiciaire à la mi-octobre, la coopérative disposait d'un délai de six mois pour trouver des capitaux et poursuivre son activité. Elle avait notamment prévu de céder deux rames stockées par une société spécialisée dans la restauration de matériels ferroviaires. Sauf que celle-ci "*nous réclamait 880.000 euros de frais de garage, en sus des 350.000 euros déjà payés pour la réalisation de l'audit des rames (qui n'a pas été terminé)", a affirmé Railcoop.

Le 21 mars dernier, le tribunal de commerce de Clermont-Ferrand a donné raison à l'entreprise en question. "Par cette décision, le tribunal nous empêche de procéder à la vente des deux rames (qui était signée), nous coupe toute source de financement de court terme, et nous fait porter une nouvelle dette insoutenable", indique Railcoop.

Cette décision de justice, qualifiée d'incompréhensible, scelle le sort de Railcoop, affirme encore la coopérative à ses sociétaires. Le message adressé se termine ainsi : "c'est avec le plus grand regret que nous vous adressons ce message, après des mois passés ensemble à se battre, pour éviter la fin de notre belle aventure collective."

Née en 2019, Railcoop s'était fixé comme objectif de lancer une liaison ferroviaire transversale entre Bordeaux et Lyon via Périgueux, Limoges, Montluçon et Roanne. La coopérative rêvait de lancer son premier train citoyen initialement à l'été 2022. Mais son lancement avait été maintes fois repoussé.

En avril 2023, son activité de fret, déficitaire, entre Viviez-Decazeville (Aveyron) et Saint-Jory (Haute-Garonne). Les discussions avec des institutions régionales pour garantir des emprunts obligataires avaient tourné court.

Depuis son siège de Figeac dans le Lot, Railcoop voyait grand. La coopérative avait identifié plusieurs lignes en France pour développer son offre, comme celle reliant Toulouse à Saint-Brieuc. Terminus, le rêve tourne court.

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submitted 7 months ago* (last edited 7 months ago) by TheFrirish@jlai.lu to c/france@jlai.lu

Ma quête pour privilégier uniquement les logiciels libres ressemble vraiment à une bataille difficile contre de grandes entreprises. Le logiciel libre incarne des principes tels que la transparence, la communauté et la liberté, mais le monde technologique est dominé par de grandes sociétés qui privilégient souvent les systèmes propriétaires. Cela peut certainement donner l'impression de mener une bataille difficile, surtout lorsque l'on cherche des alternatives libres qui correspondent à la commodité et à la fonctionnalité des options propriétaires dominantes.

L'un des plus grands défis est de trouver des logiciels libres qui peuvent remplacer de manière transparente chaque logiciel propriétaire que j'utilise, en particulier pour des tâches de niche ou hautement spécialisées. Heuresement la communauté du logiciel libre est dynamique et ne cesse de croître, avec des solutions et des systèmes de soutien qui évoluent au fil du temps.

C'est également un chemin qui vient avec ses récompenses. Je contribue à une culture de partage et de collaboration (notamment openstreetmaps et organicmaps), j'ai l'opportunité d'apprendre et de modifier le logiciel que j'utilise, et je fais partie d'une communauté qui valorise la liberté de l'utilisateur et le contrôle sur le logiciel qu'ils utilisent.

Rappelez-vous, chaque contribution à l'écosystème du logiciel libre, peu importe combien elle peut sembler petite, aide à rendre la technologie plus accessible et personnalisable pour tous. Que ce soit en utilisant des logiciels libres, en signalant des bogues, en contribuant à la documentation ou en faisant des dons, chaque geste compte dans la lutte contre la dominance du logiciel propriétaire, géré par des entreprises. Comment a été votre expérience jusqu'à présent dans cette quête et quels sont vos projets favoris ?

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submitted 8 months ago by TheFrirish@jlai.lu to c/france@jlai.lu

Alors que les Français vivent de plus en plus âgés, et avec des pathologies multiples, seul un tiers des malades qui en auraient besoin a accès aux soins palliatifs.

Emmanuel Macron a finalement présenté son projet de loi sur l’aide à mourir, attendu depuis plusieurs mois. Dans un entretien publié, dimanche 10 mars, par Libération et La Croix, le chef de l’Etat détaille les modalités qui encadreront médicalement cette démarche. Le texte devrait être examiné le 27 mai par les députés.Les trois quarts de ces lits (5 566) sont situés au sein des services hospitaliers confrontés à la fin de vie. On les appelle les « lits identifiés de soins palliatifs » (LISP) ; ils sont situés dans des services hospitaliers d’oncologie, gériatrie, cardiologie, etc., dont l’activité n’est pas exclusivement liée aux soins palliatifs.

La présentation d’un autre volet du projet de loi, concernant « l’accompagnement », c’est-à-dire les soins palliatifs et la prise en charge de la douleur, initialement prévue en janvier, a été repoussée à la fin mars. En attendant la publication de cette stratégie décennale, assortie de crédits supplémentaires, une circulaire ministérielle visant à mieux structurer ces soins avait été publiée en juin 2023 par le ministère de la santé.Le chantier des soins palliatifs est urgent.

La France, confrontée à un vieillissement de sa population, n’est toujours « pas à la hauteur des enjeux », avait souligné la convention citoyenne sur la fin de vie. Seuls 30 % des patients qui en auraient besoin ont accès à des soins palliatifs en France, selon la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). En cause : une répartition inégale des structures spécialisées sur le territoire, des soignants trop peu nombreux, et une culture palliative encore mal perçue au sein de la société et du corps médical.

Une offre étoffée au fil des années

L’offre en soins palliatifs a doublé au cours des vingt dernières années, notamment sous l’impulsion des plans nationaux lancés depuis 1999. A la fin de l’année 2021, on dénombrait 7 546 lits dévolus aux soins palliatifs à l’hôpital (11,1 lits pour 100 000 habitants), contre 4 012 lits en 2007.

Les trois quarts de ces lits (5 566) sont situés au sein des services hospitaliers confrontés à la fin de vie. On les appelle les « lits identifiés de soins palliatifs » (LISP) ; ils sont situés dans des services hospitaliers d’oncologie, gériatrie, cardiologie, etc., dont l’activité n’est pas exclusivement liée aux soins palliatifs.

Les autres lits sont rattachés à des « unités de soins palliatifs » (USP), des structures de référence qui accueillent les malades dont l’état de santé est complexe et nécessite une approche hospitalière spécialisée. Le nombre de ces structures spécialisées a quasiment doublé, lui aussi, entre 2006 et 2021.Enfin, le nombre d’« équipes mobiles de soins palliatifs » (EMSP) a augmenté de 20 % en vingt ans, passant de 350 en 2007 à 420 en 2021.

Réunissant différentes catégories de professionnels (médecin, infirmier, psychologue, etc.), elles épaulent les équipes soignantes d’un ou plusieurs établissements, pour proposer un accompagnement du patient en fin de vie. Elles peuvent également se déplacer à domicile, à son chevet.

Des disparités territoriales persistantes

Si la situation s’est améliorée depuis le début des années 2000, « l’élan porté doit être nuancé », soulignait en 2021 un rapport du Sénat, qui faisait écho aux conclusions de l’inspection générale des affaires sociales. Cette dernière notait en effet en 2019 « un essoufflement de la dynamique des quatre premiers plans et la permanence de nombreuses questions de fond complexes, liées notamment à l’environnement du système de santé ». Et de constater qu’il n’existe « toujours pas un maillage territorial juste et équitable ».

L’offre en soins palliatifs souffre en effet d’une répartition inégale en France. Si la majorité des départements disposent d’unités spécialisées dans la prise en charge palliative, vingt et un d’entre eux (Ardennes, Cher, Corrèze, Creuse, Eure-et-Loir, Gers, Indre, Jura, Lot, Lozère, Haute-Marne, Mayenne, Meuse, Orne, Pyrénées-Orientales, Haute-Saône, Sarthe, Tarn-et-Garonne, Vosges, Guyane, Mayotte) en sont encore dépourvus.

« C’est largement insuffisant », regrette Ségolène Perruchio, cheffe de service de soins palliatifs du centre hospitalier Rives-de-Seine à Puteaux (Hauts-de-Seine). « Si vous êtes en fin de vie, ni vous ni vos proches ne peuvent se permettre de faire trois heures de route pour aller à l’unité du département d’à côté », souligne la docteure Perruchio. Cette absence de structures de pointe est d’autant plus préjudiciable que, parmi les départements dépourvus, des territoires comme le Cher, l’Indre ou l’Eure-et-Loir sont affectés par la désertification médicale.

La répartition des lits identifiés en soins palliatifs au sein des services des hôpitaux (les LISP) est également inégale. En moyenne, la France est dotée de 8,2 lits pour 100 000 habitants. Mais vingt-sept départements disposent seulement de 6,5 lits en moyenne. Les territoires ultramarins, comme la Martinique, La Réunion, ou la Guyane, font partie des plus mal lotis, avec deux fois moins de lits encore (moins de 3,5 pour 100 000 habitants), tandis que Mayotte n’en possède aucun.

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submitted 1 year ago by TheFrirish@jlai.lu to c/meta@jlai.lu

Bonjour tout le monde,

Je souhaite partager mon opinion à propos de la situation actuelle de notre fédération aux autres instances. Je suis d'accord avec la décision de ne plus être fédérés avec les instances pornographique (on évite pas mal d'incidents en publics comme ça).

Le plus important c'est que l'on soit fédérés à toutes les autres instances. J'adore le fait qu'on soit capable de voir des posts de beehaw.org et que l'on puisse échanger avec eux. J'adore pouvoir voir les posts de scènes de ménages entre lemmy.ml et lemmy.world. j'éspère que l'on va pouvoir continuer à observer tout ça depuis notre petite instance et j'invite tout le monde à être conscient sur des règles et des utilisateurs sur les instances sur lesquels ils postes de manière à éviter d'enfreindre certaines règles d'instances. Je ne parle pas de censures mais je fais juste un rappel. la situation actuelle de notre instance est plutôt bonne et j'éspère que l'on pourra la garder un maximum de temps dans cette situation.

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submitted 1 year ago by TheFrirish@jlai.lu to c/world@lemmy.world

Extreme heat was forecast across the globe on Wednesday, as wildfires raged and health warnings were in place in parts of Asia, Europe and North America.

Firefighters battled blazes in parts of Greece and the Canary Islands while Spain issued heat alerts and some children in Italy's Sardinia were told to stay away from sports.

From California to China, authorities warned of the health dangers brought by searing temperatures, urging people to drink water and shelter from the sun. "You can't be in the street, it's horrible," said Lidia Rodriguez, 27, in Madrid.

Temperature records tumbled around the world, with new heat streaks set in China and the United States, and fresh highs in France.Beijing broke a 23-year-old record with 27 consecutive days of temperatures above 35 degrees Celsius (95 Fahrenheit), forecasters said.

Phoenix broke a similar record, in place for 49 years, with its 19th consecutive day of temperatures of 43.3 Celsius or higher, weather officials said.

In southern France, a record 29.5C was recorded in the Alpine ski resort of Alpe d'Huez, while 40.6C had been recorded for the first time in Verdun in the foothills of the Pyrenees.

In a stark reminder of the effects of global warming, the UN's World Meteorological Agency (WMO) said the trend showed "no signs of decreasing".

"These events will continue to grow in intensity, and the world needs to prepare for more intense heatwaves,"

John Nairn, a senior extreme heat adviser at the WMO told reporters in Geneva.

Heatwave on horizon

Northwest of the Greek capital Athens, columns of smoke loomed over the forest of Dervenohoria, where one of several fires around the capital and beyond was still burning.

Fire spokesman Yannis Artopios called it "a difficult day", with another heatwave on the horizon for Thursday, with expected temperatures of 44C.

A forest fire by the seaside resort of Loutraki, where the mayor said 1,200 children had been evacuated Monday from holiday camps, was still burning.

In the Canary Islands, some 400 firefighters battled a blaze that has ravaged 3,500 hectares of forest and forced 4,000 residents to evacuate, with authorities warning residents to wear face masks outside due to poor air quality.

Temperatures were unforgiving in Italy and in Spain, where three regions were put under hot weather red alerts.

The Italian islands of Sardinia and Sicily have been forecast to possibly surpass a continent-wide record of 48.8C recorded in Sicily in August 2021.

At Lanusei, near Sardinia's eastern coast, a children's summer camp was restricting beach visits to the early morning and forbidding sports, teacher Morgana Cucca told AFP.

In the Sardinian capital of Cagliari, pharmacist Teresa Angioni said patients were complaining of heat-related symptoms."They mainly buy magnesium and potassium supplements and ask us to measure their blood pressure, which is often low," Angioni said.

Many throughout Italy sought escape by the sea, including outside Rome, where the midday heat hit 40C.

"Certainly it's better at the beach, you can at least get a little wind from the sea. It's not even possible to remain in the city, too hot," said Virginia Cesario, 30, at the Focene beach near the capital.

Climate change impact

Tens of millions of Americans experienced dangerous heat levels on Tuesday.

In the town of San Angelo, Texas, where temperatures were expected to reach 104-108F (40-42C), the National Weather Service said it was "running out of ways to say that it's gonna be hot out there today.

""With temperatures across the area likely topping the 105 mark yet again, we implore you to continue to practice heat safety and try to stay cool," the agency said on Twitter.And in Arizona, the mercury at Phoenix Sky Harbor Airport again reached 110F on Tuesday, breaking the previous record of 18 consecutive days at or above that temperature, set in 1974.

The heat waves across Europe and the globe are "not one single phenomenon but several acting at the same time", said Robert Vautard, director of France's Pierre-Simon Laplace climate institute.

The heat waves across Europe and the globe are "not one single phenomenon but several acting at the same time", said Robert Vautard, director of France's Pierre-Simon Laplace climate institute.

"But they are all strengthened by one factor: climate change.

"The record-setting heat came as US climate envoy John Kerry met with Chinese officials in Beijing, with the world's two largest polluters reviving stalled diplomacy on reducing planet-warming emissions.

Speaking Tuesday at Beijing's Great Hall of the People with China's top diplomat Wang Yi, Kerry called for "global leadership" on climate issues.

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submitted 1 year ago by TheFrirish@jlai.lu to c/france@lemmy.world

Dans un rapport, l’ONG fait état, entre autres, de passages à tabac, d’arrestations arbitraires et de vol d’argent et d’effets personnels de la part des forces de sécurité.

Les forces de sécurité tunisiennes ont commis « de graves abus », ces derniers mois, contre les migrants subsahariens, qui devraient inciter l’Union européenne (UE) à « cesser son soutien » à ce pays dans la lutte contre l’immigration irrégulière, plaide l’ONG Human Rights Watch (HRW) dans un rapport, mercredi 19 juillet.

HRW précise avoir recueilli plus de 20 témoignages de « victimes de violations des droits humains aux mains des autorités tunisiennes », selon un communiqué qui dénonce les agissements « de la police, des militaires, des gardes-côtes ». « Ces abus documentent des passages à tabac, des arrestations et détentions arbitraires, des expulsions collectives, des actions dangereuses en mer, des évictions forcées, le vol d’argent et d’effets personnels », selon HRW.

Parmi les personnes interviewées, neuf sont reparties dans leurs pays à bord de vols de rapatriement en mars et huit sont encore en Tunisie. Sept autres font partie d’un groupe de « 1 200 Africains noirs expulsés et transférés de force par les forces de sécurité tunisiennes aux frontières avec la Libye et l’Algérie début juillet », affirme HRW.

Parmi les personnes interviewées, neuf sont reparties dans leurs pays à bord de vols de rapatriement en mars et huit sont encore en Tunisie. Sept autres font partie d’un groupe de « 1 200 Africains noirs expulsés et transférés de force par les forces de sécurité tunisiennes aux frontières avec la Libye et l’Algérie début juillet », affirme HRW.

A la suite d’affrontements ayant coûté la vie à un Tunisien le 3 juillet, des centaines de migrants subsahariens ont été chassés de la ville de Sfax (centre-est), principal point de départ pour l’émigration clandestine vers l’Europe, avant d’être transférés vers des zones inhospitalières près de la Libye, à l’est, et l’Algérie, à l’ouest. Les témoignages recueillis par l’ONG montrent qu’ils ont été laissés sans eau, ni nourriture, ni abri, en plein désert.

« Electrochocs »

Selon le rapport, « la majorité des abus documentés ont eu lieu après le discours, le 21 février, du président Kaïs Saïed, dans lequel il pourfendait l’immigration clandestine, dénonçant l’arrivée de “hordes de migrants” venus, selon lui, “changer la composition démographique de la Tunisie” ».

Les personnes interrogées assurent avoir subi des violences dans des postes de police, où certains « ont subi des électrochocs ». D’autres ont dénoncé des « arrestations et détentions arbitraires basées sur leur couleur de peau », sans contrôle préalable de leurs papiers. Plusieurs se plaignent « d’abus lors d’opérations d’interception et de sauvetage près de Sfax », disant avoir été « frappés, volés, laissés à la dérive sans moteur et insultés », selon HRW.

L’ONG, qui a écrit au gouvernement tunisien fin juin sans recevoir de réponse, exhorte l’UE à stopper ses aides à la lutte contre l’immigration clandestine en Tunisie « jusqu’à une évaluation de leur impact pour les droits humains ». « En finançant les forces de sécurité qui commettent des abus, l’UE partage la responsabilité pour les souffrances infligées aux migrants, réfugiés et demandeurs d’asile », a souligné Lauren Seibert, une chercheuse de HRW citée dans le rapport.

L’UE et la Tunisie ont conclu « un partenariat stratégique », dimanche, qui prévoit l’octroi par Bruxelles de 105 millions d’euros à Tunis sous forme d’équipements et pour financer un « retour volontaire » de 6 000 Subsahariens.

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submitted 1 year ago by TheFrirish@jlai.lu to c/world@lemmy.world

Nearly 10 months after Iran’s so-called “morality police” disappeared from the streets during mass protests over the death in custody of Mahsa Amini, the Iranian police announced July 16 that they had resumed patrols targeting “immoral clothing.” Amateur videos and first-hand reports from our Observers in Iran indicate that the patrols had resumed in the days before the announcement. But with many Iranian women having gotten used to going out with their heads uncovered in recent months, it remains unclear whether the patrols will be able to stop them.

Amini, 22, was arrested by members of Iran’s Guidance Patrol on September 13, 2022 for allegedly not wearing a headscarf, and died three days later. Her death sparked months of mass protests that resulted in more than 500 deaths, thousands of injuries, and tens of thousands of demonstrators arrested.

Now the Iranian regime is cracking down.On July 16, Saeed Montazer Al-Mahdi, spokesman for the Iranian police, announced that the morality police would resume conducting morality patrols. “Following massive demand by several groups of people, and the urging of the president and the head of the judiciary to achieve a safer society and enforce family values, police patrols will, from today, alert persons wearing immoral clothing and, if they insist, report them to the courts.”

The protests, under the slogan “Woman, Life, Freedom,” led many Iranian women to refuse to wear the Islamic hijab in public, defying Iran’s mandatory hijab laws. Guidance Patrol units stopped patrolling, and Iran’s regular police had to focus on breaking up the protests, not enforcing hijab rules.

In this video posted on Twitter the man filming says the woman in black is an officer of Iran's Gasht-e-Ershad morality police making an arrest in the Gisha neighbourhood of north Tehran on July 15, 2023.

Many Iranians on social media report seeing police conducting morality patrols on the streets in recent days. They have posted images showing women with their heads uncovered being stopped by women in black chadors accompanied by uniformed male police officers. Police vehicles are visible in the images, along with unmarked white vans.

Most of the posts on social media report seeing the patrols merely order women to put on a headscarf, but there are also videos suggesting arrests are being made.

Montazer Al-Mahdi did not specifically mention the Guidance Patrol (known as Gasht-e-Ershad in Persian), and it was unclear whether the new patrols are being conducted by regular police or personnel from the religious police unit. Iran’s attorney general had announced in January that the Guidance Patrol was being disbanded, but it was denied by state media.

Iranian authorities have for months been using traffic-surveillance cameras to detect women drivers and passengers without hijabs, and using the vehicles’ licence plates to identify the women and summon them to court to pay fines.

“Young women aren’t afraid of arrest or fines”

Niusha [not her real name], an Iranian woman in Tehran who has refused to wear Islamic clothing in public places for more than a year, explains what is now happening on the streets of Iran:

“I go outside as I please, wearing a T-shirt and shorts. However, I have seen patrols of the morality police in several places in Tehran in the north and in the city centre, although I have not seen or heard of them arresting anyone yet.

I have seen their female officers in black chadors as usual. But now they are in white vans, whereas their vehicles used to be white and green [official colours of Iranian police vehicles].

On the other hand, I know many women who have been summoned to court. The Islamic Republic agents have reported them to the authorities for not wearing Islamic dress in public places and the women have been brought before a judge and are now waiting for their verdict.

The caption of this video posted on Twitter 17 July 2023 says it shows officers of Iran's morality police checking women for hijab violations in the western city of Kermanshah.

And the number of threatening text messages to women drivers in cars has increased. Traffic cameras are used to check whether the women in the car are wearing an Islamic hijab or not, and if not, they send a text message and fine the car owner, sometimes impounding the car for a while.

But middle-class families who have to go to work every day need their car, and some of them might fold. One of my friends, who has not once worn a headscarf in the last few months, put one in her car as a precaution.

”This video posted on Telegram shows Iranians in the city of Rasht protesting following the arrest of three women on 16 July 2023 for not wearing Islamic hijab on the street.

On July 17, media outlets close to the state claimed a judge in the Tehran province sentenced a woman to work in a morgue in Tehran for not wearing a headscarf in her car.

The Islamic Republic has once again set out to push back Iranian women with the help of police forces, but many political analysts call this latest act a shot in the Islamic Republic’s own knee.

For the extremists, enforcing Islamic hijab is the last bastion before the regime's collapse

Tara [not her real name] is a political analyst in Iran. She has been arrested several times for her criticism of the Islamic Republic. She is also one of the Iranian women refusing to comply with the Islamic dress code imposed by the mollahs in Tehran. She explains why, just two months before the anniversary of Mahsa Amini’s death and amid an unprecedented crumbling of legitimacy for the regime, the Islamic Republic is adding fuel to the fire after decades of economic, environmental, political, diplomatic and human rights crises.

“As far as I can tell, there is a struggle between different political factions in Iran. There are extremists, including Ahmad-Reza Radan, Iran's newly appointed police chief, who want to reintroduce the morality police. They have the upper hand. But there are other blocs who, for whatever reason – maybe fear of more mass protests – disagree. Some hardline websites such as Tasnim News and Javan [two media outlets close to Iran’s powerful Islamic Revolutionary Guard Corps, the IRGC] have denied the morality police are being redeployed, saying the amateur images showing such patrols are 'fake'.

For the extremists, enforcing Islamic hijab on the streets is critical, the last bastion before the regime's collapse. It’s a way of showing that the regime is still in control. That is why the hardliners have recently organised rallies by their supporters to protest the regime's lack of initiative to enforce Sharia law in public spaces.

We should not forget that we are approaching the anniversary of Mahsa Amini's death. Maybe they think that with such a strong presence on the streets they can stop people from marking this day in the coming weeks. But I think that will backfire on them in the end.”

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submitted 1 year ago by TheFrirish@jlai.lu to c/france@jlai.lu

Les trois plafonds tarifaires, dont bénéficient les 4,5 millions de personnes qui détiennent cette carte, vont passer à 49, 69 et 89 euros fin août, ce que la SNCF justifie par la hausse de ses coûts.

La carte Avantage de la SNCF, permettant aux 28-59 ans d’accéder à des tarifs plafonnés garantis contre un abonnement annuel sera bientôt moins rentable, a annoncé dimanche 16 juillet l’entreprise publique, justifiant la mesure par la hausse de ses coûts. En vigueur depuis deux ans et détenue par 4,5 millions de personnes, la carte Avantage permet pour 49 euros par an de bénéficier de tarifs réduits de 30 % et plafonnés, à condition d’effectuer une partie du voyage pendant un week-end.

Ces plafonds étaient de 39 euros pour les trajets de moins d’une heure trente (environ 25 % des voyages), 59 euros pour les trajets durant entre une heure trente et trois heures (50 %) et 79 euros pour les trajets plus longs (25 %).

Après le 29 août, ils vont être augmentés de 10 euros, passant donc respectivement à 49, 69 et 89 euros maximum. Le prix d’achat de la carte reste inchangé, a souligné la SNCF dans une déclaration envoyée à l’Agence France-Presse, confirmant des informations auparavant communiquées au Parisien.

« Bouclier tarifaire »

Le dispositif était sorti indemne de la dernière hausse de tarifs de la SNCF entrée en vigueur le 10 janvier, qui avait vu les billets des grandes lignes augmenter de 5 %. L’entreprise ferroviaire avait présenté ce dispositif comme un « bouclier tarifaire » sur fond de forte hausse de ses coûts (+ 13 % pour le TGV en 2023) induits par l’inflation et le bond des prix de l’électricité.

Quant au relèvement des plafonds de la carte Avantage, il « s’inscrit bien dans la limitation de la hausse tarifaire à 5 % en moyenne en 2023, qui n’est donc pas remise en cause », a insisté la SNCF. Elle a aussi fait valoir que « cela ne modifie rien pour tous [les] clients qui ne possèdent pas cette carte, ni même pour la plupart des bénéficiaires de la carte Avantage car ceux-ci paient dans la majorité des cas moins que le prix plafond ».

En parallèle, la SNCF a annoncé au Parisien la vente, les 31 juillet et 1er août, de 300 000 billets TGV et Intercités à 29, 39 et 49 euros pour des trajets effectués pendant le mois d’août. Dix jours plus tôt, le ministre délégué aux transports, Clément Beaune, avait, lui, déclaré que l’entreprise allait proposer des billets à 19 euros pour des trajets en Intercités, soit les grandes lignes hors TGV, un dispositif financé par l’Etat qui subventionne les Intercités au contraire des TGV. L’opération, qui devait prendre fin ce week-end, est prolongée et il reste « plus de 100 000 billets » disponibles, a précisé M. Beaune sur France 2 lundi.

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submitted 1 year ago by TheFrirish@jlai.lu to c/france@lemmy.world

Est-ce que ça serait une bonne idée (et éthique surtout) de mettre une règle en place ici pour limiter l'usage de platformes propriétaires et donc pour poster des liens vers des vidéos YouTube ?

https://piped.kavin.rocks

Je n'ai pas l'image globale du possible impact que ça aurait (surtout pour les revenus de youtubeurs) mais je pense que au vu de notre nombre actuel et que le type de personne que nous sommes sur lemmy/kbin fait que la plupart d'entre nous utilisons déjà des bloqueurs de pub donc peu ou voir pas d'impact pour les Youtubeurs.

PS : pour notre confort aussi vu que nous serions pas redirigés sur l'app YT (truffée de pub) ou le site web YT qui est horrible sur mobile.

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TheFrirish

joined 1 year ago